Kürzlich trug ich für ein Ensemble von 1804 ein Diademe aus Seidenrosen, aber auch ein paar Jahre später hatte "Centyeux" ganz klare Ansichten zum Thema "Schmuck"
Les fleurs artificielles sont encore le genre de coëffure qui sied le mieux aux dames, qui épuise le moins la bourse des maris, et par conséquent le plus généralement adopté. Les diamans et les pierres précieuses ont bien aussi leurs charmes; mais n'en a pas qui veut, et souvent celle qui en porte, pleure en secret le moment où la fantaisie lui a pris de se faire si brillante. Aussi ne voit-on de diamans qu'aux femmes extrêmement opulentes, et à celles qui sont bien loin d'être. Les dames qui occupent un juste milieu dans la société ne veulent point d'une parure dont l'éclat les rendroit suspectes: dans un pays où tout brille de luxe et de toilette, elles ne peuvent s'en tenir raisonnablement à la simple nature; mais elles n'emploient l'artifice que pour les fleurs: artifice bien innocent et bien excusable, qui embellit leur figure sans porter atteinte à la pureté de leur ame.
LE CENTYEX
Journal des Dames et des Modes No. 1 (Quinzième Année.) 5 Janvier, 1811.
Via Bunka Gakuen https://digital.bunka.ac.jp/kichosho/file/No.414/414-0015-003.jpg
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